Reprise en sous oeuvre pour des fondations de qualité

Reprise en sous oeuvre pour des fondations de qualité

Afin de contrer un vieillissement anticipé, résoudre des imperfections de construction ou de répondre aux effets des variations d’une structure, SPID est à l’œuvre, proposant des services de réparation et de renforcement, s’appuyant étroitement sur son Bureau d’études incorporé.

Afin de contrer un vieillissement anticipé, résoudre des imperfections de construction ou de répondre aux effets des variations d’une structure, SPID est à l’œuvre, proposant des services de réparation et de renforcement, s’appuyant étroitement sur son Bureau d’études incorporé. Ancrés en Ile-de-France, nous avons acquis une expertise en matière de renforcement et de réparation des fondations depuis plus de quatre décennies: multitâche entre reprises en sous-œuvre (à travers des puits ou semelles), installations de pieux, de micropieux, de tirants et de boulons d’ancrage, l’écoulement d’injections, la constitution de longrines ou la réalisation de drainages, …

Notre collaboration s’étend auprès de maîtres d’ouvrages publics et privés, ainsi que des architectes travaillant sur des immeubles anciens et modernes, dans Paris et sa petite couronne, et parfois avec des clients individuels.

QU’IMPLIQUE LA MISE EN ŒUVRE D’UNE REPRISE DE SOUS-ŒUVRE ?

Les démarches de reprises en sous-œuvre apparaissent afin de remédier aux affections des fondements d’un bâtiment, devenues vulnérable suite à des imprévus comme une conception défaillante, des distorsions du sol dues à des conditions météorologiques extrêmes : sécheresses intenses ou crues récurrentes. De surcroît, ces interventions sont également sollicitées dans le cas des rénovations importantes de bâtiments, en visant à soutenir les charges additionnelles résultantes.

Nos expertises englobent l’ensemble des réalisations de reprises en sous-œuvre, notamment en fonction des nécessités de projets de construction :

  • Limites de propriété, conception et excavation de caves ou de sous-sols, rehaussements
  • Restauration de structures sinistrées (dommages dus à l’eau, crues, fissurations, glissements de terrain, …)

Nous sommes rompus à l’approfondissement et au renforcement des fondations à l’aide de techniques telles que les longrines, les micropieux, les puits ou les soutènements en béton armé, ces compétences faisant notre renommée dans le domaine.

TRANSPOSITION EN AMONT DE L’INTERVENTION

Préalablement à toute démarche concrète, nous sollicitons les compétences d’un architecte ainsi que de notre propre Bureau d’Études. Les connaissances et l’analyse précise offertes par cette double compétence nous permettent de comprendre toutes les injonctions liées à la faisabilité de l’ouvrage et de son organisation. Cette phase d’analyse est essentielle pour guider de manière optimale la mise en œuvre de votre projet.

Voici quelques critères de fond à garder en tête avant de déterminer la technique de reprise en sous-œuvre :

  • Le sol :
    Dans la mesure du possible, l’exploration des cartes géologiques pour discerner la nature du sol est un premier pas capital. Il est par ailleurs généralement judicieux de réaliser une étude des échantillons de sol prélevés, en laboratoire ou par le biais de tests sur le terrain. Il est de même primordial d’évaluer la position de la nappe phréatique par rapport aux fondations. L’examen du sol a une incidence significative sur la sélection de la méthode de reprise en sous-œuvre à privilégier. Il permet en outre d’apprécier la profondeur de l’incursion prévue.
  • Les structures :
    Nous procédons à une étude rigoureuse de la structure du bâtiment appelé à bénéficier des travaux de reprise en sous-œuvre, pour prévenir toute défaillance dans la répartition des charges durant le déroulement du chantier et une fois ce dernier achevé. L’étude des structures vise à identifier précisément les éléments porteurs ainsi que les conduits de charge. Elle est aussi cruciale pour détecter les éventuelles zones de disruption.
  • Les fondations :
    Compte tenu que la reprise en sous-œuvre s’effectue au sein des fondations, il est tout naturel de se pencher aussi sur le type de fondations présentes, leur profondeur, leur état, le genre de sol sur lequel elles reposent et sa condition ainsi que la condition du ferraillage.

EXPLORATION DES STRATÉGIES DE MISE EN ŒUVRE DE LA REPRISE EN SOUS-ŒUVRE

En tenant compte de la configuration structurelle de votre édifice et du profil du sol environnant, on observe une diversité de méthodes pour effectuer une reprise en sous-œuvre.

  • Reprise en sous-œuvre en accroissant la surface d’appui : Nous suggérons cette tactique lorsque la zone d’appui de la semelle n’est pas adéquate, spécialement si le sol est sujet à une surcharge. Dans ce cas, lors de la reprise en sous-œuvre, on va chercher à augmenter la surface d’appui.
  • Reprise en sous-œuvre par transposition des charges en profondeur : Ça devient indispensable quand élargir ou améliorer le sol n’est pas réalisable ou lorsqu’il est indispensable d’atteindre une partie plus solide en creusant plus profondément. On recourt alors à une stratégie de reprise en sous-œuvre qui permet la transposition des charges en profondeur. Dans ce cadre, plusieurs methods sont envisagées:
    • Par le creusement de puits alternés, spécialement pour les terrains à faible superficie : l’opération se débute par une excavation à parois perpendiculaires, suivie par un étaiement de la fouille pour identifier les fondations de l’édifice. Postérieurement, on fait le creusement de puits jusqu’à atteindre une profondeur convenable selon les normes de sécurité. Au final, le bétonnement des puits est effectué.
    • Par le creusement de tranchées blindées : Cette procédure nécessite un terrassement manuel. L’originalité de cette méthode réside dans le fait que le creusement ne suit pas une progression linéaire, mais alterne par intermittence. On procède alors à l’excavation de tranchées d’une profondeur ce situant entre 30 et 50 cm.
    • Par le recours à des micropieux, une bonne alternative pour les sites exiguës : Cette méthode se base sur l’utilisation de micropieux (diamètre inférieur à 250 mm) pour transférer les charges en profondeur. Ces micropieux sont ensuite armés avec des tubes métalliques et ancrés au sol grâce à un coulis de ciment. Selon la technique d’injection du mortier (sous pression), on peut différencier trois catégories de micropieux : l’injection gravitaire (type II), l’injection globale unitaire de coulis de ciment (type III), et l’injection répétitive et sélective (type IV).
    • Par le recours à un soutènement pour l’aménagement de places de parking : Cette technique repose sur l’excavation d’une tranchée d’une épaisseur variant de 50 à 150 cm, sur une hauteur allant de 4 à 5 m. La tranchée est ensuite remplie avec une boue thixotropique permettant de maintenir temporairement les parois en équilibrant les pressions latérales avant de procéder au bétonnage à l’aide d’un tube plongeur.

Quentin

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